Une réorganisation des hôpitaux
L’épidémie de COVID-19 vécue en France et dans les différents CHU, s'est accompagnée de changements organisationnels pour les soignant·e·s comme pour les étudiant·e·s. Le CHU de Rennes, malgré un relativement faible taux d’hospitalisation, a dû s’adapter entre garantie de la continuité pédagogique et protection des étudiant·e·s en médecine. Dans un premier temps, afin de ne pas surexposer les étudiant·e·s en médecine, il a été décidé de les positionner en “zone non Covid”. D’autres ont été affectés “en régulation SAMU”, ou en “mobilisable” afin d’avoir des étudiant·e·s disponibles en cas de nécessité.
Des étudiant·e·s au bout du fil
- de garder un suivi avec les patients vus aux urgences
- d’évaluer par téléphone la gravité des symptômes
- d’orienter le patient vers le médecin traitant ou vers un centre de “consultation covid”
La « Tata mobile » au service des EPHAD
Nous pouvons noter l’implication particulière de 6 étudiant·e·s en médecine qui se sont investis de manière totalement volontaire, bénévole, en plus du temps de stage afin d’assurer la mission des prélèvements en EHPAD.
Yann Blayo, étudiant DFASM 1 et élu UFR 2019-2021
Des élu·e·s étudiants en soutien
- Coordination des différentes missions notamment en gérant l’équité entre les différents plannings
- Sollicitation et coordination des volontaires pour la mission en EHPAD
- Remplacement des arrêts maladies
- Coordination des informations à l’ensemble des étudiants
- Soutien et identification des externes en difficultés
- Réponse aux questions des externes, soit environ 150 sollicitations pendant la période de confinement